Jurassic World : Renaissance – Tout savoir sur le film avec Scarlett Johansson (date, bande-annonce, casting)

Cinéma
Par Le

Jurassic World : Renaissance marque une nouvelle étape pour la franchise initiée par Steven Spielberg en 1993. Entre reboot partiel et suite indirecte, ce nouveau long‑métrage réalisé par Gareth Edwards nous plonge au cœur d’une mission secrète sur une île oubliée, peuplée de créatures parmi les plus dangereuses jamais créées.
Porté par Scarlett Johansson, Mahershala Ali et Jonathan Bailey, le film renoue avec les origines horrifiques de la saga tout en explorant les dérives scientifiques d’un monde post‑Jurassic World.

Sommaire

Bande‑annonce du film Jurassic World : Renaissance

Découvrez ci-dessous la première bande-annonce officielle de Jurassic World : Renaissance, disponible en version originale sous-titrée et en version française. Elle offre un aperçu impressionnant de l’ambiance plus sombre du film, et de la nouvelle menace qui attend Scarlett Johansson et son équipe.

Bande‑annonce VOST :

Bande‑annonce VF :

Quand sort le film ?

Jurassic World : Renaissance sort en France le 4 juillet 2025, après un démarrage américain dès le 2 juillet via Universal Pictures.

Quel est le casting du film ?

Le film est porté par Scarlett Johansson dans le rôle de Zora Bennett, cheffe d’une unité d’extraction. Elle est accompagnée de Mahershala Ali (Duncan Kincaid) et Jonathan Bailey (Dr Henry Loomis).

Parmi les autres rôles :

Le film est réalisé par Gareth Edwards, sur un scénario de David Koepp, et produit par Frank Marshall, Patrick Crowley et Steven Spielberg.

Quelle est l’histoire ?

Plusieurs années après les événements de Jurassic World : Le Monde d’après, les dinosaures restants vivent reclus dans des zones tropicales isolées. Trois spécimens particulièrement dangereux pourraient détenir un ADN capable de sauver l’humanité.

C’est ce qui pousse une équipe d’extraction à se rendre sur une île non répertoriée, ancien centre de recherche abandonné. Sur place, ils croisent une famille de civils naufragés, attaqués par des dinosaures marins. Ensemble, ils devront survivre dans cet enfer végétal et prédateur, tout en découvrant un secret enfoui depuis des décennies.

Une ambiance plus sombre pour relancer la saga

Jurassic World : Renaissance adopte un ton plus resserré, plus intime, et surtout plus angoissant. Loin des mégalopoles, le film revient à l’essentiel : la terreur d’un environnement incontrôlable, peuplé de créatures imprévisibles.

La bande originale, signée Alexandre Desplat (The Shape of Water, Harry Potter), rend hommage aux thèmes de John Williams tout en instaurant une ambiance plus tendue.

Que disent les critiques ?

Au moment de la rédaction de cet article, les premiers retours américains sont partagés : le Tomatometer affiche 51 % (plus de 200 critiques), et Metacritic attribue une note de 52/100.

À noter que l’audience se montre nettement plus favorable, avec environ 72 % de satisfaction côté spectateurs pour le moment.

Globalement, les critiques saluent la mise en scène spectaculaire et les performances de Scarlett Johansson, Mahershala Ali et Jonathan Bailey, mais pointent une intrigue jugée convenue.
En somme, un film qui impressionne par ses images, mais divise par son scénario.

Faut‑il rester après le générique ?

Non, Jurassic World : Renaissance ne contient aucune scène post‑générique. Ce choix réfléchi de Gareth Edwards affirme la volonté d’un récit autonome.

Pour en savoir plus : Jurassic World : Renaissance a-t-il une scène post-générique ?

Les questions que tout le monde se pose

Y a‑t‑il une suite prévue ?

Pas encore annoncée, mais le film pose clairement les bases pour de futurs épisodes.

Des clins d’œil aux anciens films ?

Pas de caméos, mais l’ambiance renvoie aux origines de la saga.

Doit‑on avoir vu les précédents ?

L’intrigue est autonome, même si connaître la trilogie apporte un plus.

Le film est‑il effrayant ?

Oui, l’ambiance plus sombre et les scènes oppressantes rappellent le premier Jurassic Park.

Article mis à jour le 4 juillet 2025 pour intégrer critiques US et préciser l’absence de scène post‑générique.

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