Le Site C, centre de recherche secret du projet Jurassic Park original, s'apprête à livrer ses terrifiants secrets dans Jurassic World : Renaissance. Ce septième volet, attendu le 4 juillet 2025 en France, nous plonge dans un lieu où les expériences les plus dangereuses ont été abandonnées il y a 30 ans. Aujourd'hui, une nouvelle équipe s'y aventure avec un objectif ambitieux : collecter l'ADN des trois plus grands dinosaures pour développer des traitements révolutionnaires.
Une silhouette colossale dans la brume : le Titanosaure
L'un des plus grands dinosaures ayant foulé notre planète, le Titanosaure.
Une silhouette monumentale se découpe à l'horizon du Site C. Le Titanosaure fait son entrée historique dans la saga, offrant à Zora Bennett (Scarlett Johansson) et Henry Loomis (Jonathan Bailey) un spectacle qui évoque la magie du premier film. Ce colosse, avec son épine dorsale distinctive et sa queue élancée, incarne la puissance brute des plus grands dinosaures terrestres ayant foulé notre planète.
Les ruines mortelles du Quetzalcoatlus
Même dans les airs, personne ne sera tranquille avec le Quetzalcoatlus.
Dans les hauteurs du Site C, le Quetzalcoatlus a fait des ruines anciennes son territoire. Cette créature volante, déjà aperçue dans Le Monde d'après, prend une nouvelle dimension lorsque Zora et Henry tentent l'impossible : dérober un œuf sous la surveillance d'un parent surprotecteur. Une mission qui tourne rapidement au cauchemar, nous rappelant pourquoi le ciel est devenu aussi dangereux que la terre.
L'ombre furtive du Vélociraptor
Les Raptors seront évidemment de la partie.
La nuit sur le Site C appartient au Vélociraptor. Dans l'obscurité, seul le clapotis de ses pas dans l'eau trahit sa présence près d'Henry. Cette approche insidieuse ravive nos souvenirs des cuisines du premier parc, tout en suggérant que les raptors du Site C pourraient avoir évolué de manière inquiétante.
L'expérience interdite : le nouvel hybride
Et un mystérieux nouveau dinosaure génétiquement modifié bien flippant.
Certaines créations n'auraient jamais dû voir le jour. Au cœur du Site C rôde un prédateur génétiquement modifié dont la simple existence justifiait l'abandon du site. Son design cauchemardesque, fusionnant l'essence du Rancor de Star Wars: The Clone Wars et du Xenomorphe d'Alien, prend vie dans une poursuite terrifiante avec Duncan Kincaid (Mahershala Ali). Cette création représente l'ultime avertissement contre les dangers de la manipulation génétique.
Le chasseur venimeux : le Dilophosaure
Juré craché, le Dilophosaure sera là également.
Le Dilophosaure prouve que les prédateurs historiques de la saga n'ont rien perdu de leur impact. Sa rencontre avec une jeune fille sur le Site C nous replonge dans la tension viscérale de la première apparition de l'espèce. Ses collerettes déployées et son venin mortel rappellent pourquoi même les plus petits dinosaures peuvent être les plus redoutables.
Le nouveau roi du Site C : un T-Rex différent
Le fameux T-Rex dans Jurassic World: Renaissance.
Sur le Site C règne un Tyrannosaure Rex unique, différent de l'emblématique T-Rex. Cette version alternative du roi des dinosaures nous offre enfin la séquence de poursuite fluviale rêvée par Michael Crichton. Ses particularités physiques racontent l'histoire sombre des expérimentations menées sur l'île, le rendant encore plus imprévisible que ses prédécesseurs.
La meute aquatique : le retour des Spinosaures
Le terrible Spinosaure sera cette fois dans son élément, l'eau, plus dangereux que jamais.
Cette fois, ils ne chassent pas seuls. Le Spinosaure revient après 24 ans d'absence, et sa stratégie a évolué. Pour la première fois, trois spécimens coordonnent leurs attaques sur l'eau, transformant une simple traversée en cauchemar aquatique. Leur collaboration avec le Mosasaure démontre une intelligence tactique qui dépasse nos pires craintes.
Le titan des mers : le Mosasaure
L'impressionnant Mosasaure fait son retour.
La terreur des océans étend son territoire jusqu'au Site C. Le Mosasaure apparaît dans son quatrième film consécutif, mais jamais nous ne l'avions vu travailler en équipe. Son alliance mortelle avec les Spinosaures révèle une nouvelle facette de cette créature déjà légendaire, prouvant que même les plus grands prédateurs peuvent encore nous surprendre.
Avec ce bestiaire aussi varié que létal, Jurassic World : Renaissance promet de repousser les limites de ce que nous pensions savoir sur les dinosaures. Le Site C nous attend le 4 juillet 2025 pour nous révéler tous ses secrets.
