Jurassic World : Renaissance sort enfin au cinéma, relançant la célèbre franchise initiée par Steven Spielberg dans les années 1990. Avec ses dinosaures mutants, son casting impressionnant (Scarlett Johansson, Mahershala Ali, Jonathan Bailey) et son ambition de renouveler l’univers pour une nouvelle génération, une question se pose forcément en sortant de la salle : faut-il rester jusqu’à la fin du générique ?
La réponse est simple et sans ambiguïté : non, Jurassic World : Renaissance ne contient aucune scène post-générique. Dès que le générique commence, nous pouvons donc quitter la salle sans rien manquer d’important pour la suite de la franchise. Ni teasing, ni clin d’œil caché, ni retour surprise d’un personnage culte. Gareth Edwards a fait le choix d’un film totalement autonome, sans appendice secret à la fin.
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La décision est cohérente avec la volonté du réalisateur de proposer une histoire complète, qui pourrait tout à fait rester sans suite. Bien que l’univers ait encore beaucoup à offrir (notamment avec cette île de Saint-Hubert infestée de créatures hybrides), le récit est conçu pour fonctionner de manière indépendante. Pas de cliffhanger forcé donc, même si l’avenir de la franchise reste ouvert.
Le studio Universal attend d’ailleurs les premiers résultats au box-office pour décider de la suite à donner à ce nouveau départ. En fonction du succès rencontré, plusieurs options sont sur la table : une suite directe, un autre film dans le même univers, ou un reboot partiel avec de nouveaux personnages. Mais rien n’est encore confirmé.
Le film Jurassic World : Renaissance se déroule cinq ans après Jurassic World : Le Monde d’après, dans un monde où les dinosaures survivent uniquement dans quelques zones équatoriales préservées. L’intrigue tourne autour d’un enjeu pharmaceutique lié à trois gigantesques créatures contenant dans leur ADN une molécule capable de sauver des vies humaines. C’est cette promesse scientifique et économique qui pousse les protagonistes à s’aventurer sur l’île Saint-Hubert, ancienne base de recherche d’InGen laissée à l’abandon et peuplée de monstres génétiquement modifiés.
Autant dire que l’univers mis en place laisse beaucoup de possibilités d’extension. Mais comme l’a démontré Jurassic World : Renaissance, Universal semble vouloir avancer prudemment, en laissant chaque film exister par lui-même plutôt que de construire un univers interconnecté façon Marvel.
Si vous allez voir Jurassic World : Renaissance, inutile de patienter jusqu’à la toute fin du générique : aucune scène bonus ne viendra teaser un futur film ou faire revenir un personnage iconique. Le film de Gareth Edwards s’affiche comme un standalone assumé, même s’il ouvre discrètement la porte à d’autres aventures dans cet univers repensé.
Non. Le film ne propose aucun contenu supplémentaire après le générique.
Pas forcément. Une suite dépendra probablement du succès au box-office. Le film laisse la porte ouverte, sans l’imposer.
Pas directement. Aucun caméo n’est présent, du moins pas en post-générique. Le film fonctionne avec une nouvelle équipe de personnages.
Non, même si cela peut enrichir l’expérience. L’histoire est conçue pour être comprise de manière autonome.