Le remake de Prince of Persia : Les Sables du Temps est de nouveau dans la tourmente. En effet, plusieurs années après son annonce, nous apprenions que le jeu avait changé de studio de développement il y a de ça un an. Initialement mis entre les mains d'Ubisoft Pune, basé en Inde, le projet n'a pas su convaincre les joueurs à son annonce et les soucis de développement ont eu raison du projet. C'est donc Ubisoft Montréal qui a été chargé de reprendre en main le remake.
Malheureusement, les dégâts sont plus conséquents que nous le pensions. Le titre est désormais repris de zéro par les équipes canadiennes, et Ubisoft a décidé de laisser la parole à Jean-François Naud et Michael McIntyre travaillant conjointement sur le jeu, pour y livrer quelques informations complémentaires.
Ubisoft Montréal à la rescousse
C'est lors de l'interview parue sur le site d'Ubisoft que le producteur répond à la question brûlante : où on est le chantier ? Voici sa réponse :
En ce qui concerne le développement, nous sommes en phase de conception en ce moment. Depuis que nous avons repris le projet, nous avons examiné les commentaires de la communauté et trouvé notre propre façon de livrer le jeu. Maintenant, nous construisons l'équipe, définissons les priorités, assemblons des prototypes, testons des éléments et examinons comment nous pouvons également inclure les commentaires de la communauté dans le développement. Il n'en est encore qu'à ses débuts et les joueurs ne devraient pas s'attendre à en savoir plus sur le jeu cette année, mais soyez assurés que nous mettons tous nos forces et notre cœur dans ce projet.
Pendant le reste de l'entretien, les deux personnalités du studio répondent ensemble aux questions et donnent leur vision de Prince of Persia : Les Sables du Temps. Nous en apprenons plus sur la direction souhaitée ainsi que leurs envies pour le titre. L'interview est à retrouver en intégralité, en cliquant juste ici. Pour l'heure, Jean-François Naud s'est montré très clair quant à la communication future du jeu : pas d'informations complémentaires prévues cette année. Il va falloir attendre encore quelques temps avant d'en apprendre plus étant donné le stade très prématuré du développement.
