"Ils n'auraient jamais dû exister." Les secrets les plus sombres de Jurassic Park refont surface dans Jurassic World Renaissance (Jurassic World: Rebirth en VO), dont la première bande-annonce nous plonge dans un territoire inexploré : une île où se cachent les créations génétiques jugées trop dangereuses pour le parc originel.
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La bande-annonce en VOST :
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L'héritage génétique le plus dangereux de Jurassic Park
"Le pire du pire a été abandonné ici". Cette phrase résonne comme un avertissement macabre dans la bande-annonce. Au cœur d'une île isolée reposent les expériences les plus risquées de la saga, des mutations génétiques consciemment écartées du parc original. Cinq ans après Jurassic World : Le Monde d'après, alors que les dinosaures survivants se sont réfugiés dans les zones équatoriales, ce sanctuaire interdit abrite des créatures dont l'existence même constitue une menace sans précédent.

Ce qui reste du fameux Jurassic Parc.
Une mission d'extraction aux frontières du possible
L'ADN de ces créatures pourrait révolutionner la médecine moderne. Pour récupérer ce matériel génétique précieux, Scarlett Johansson incarne Zora Bennett, une experte en opérations secrètes. Son équipe d'élite compte sur l'expertise de Duncan Kincaid, joué par Mahershala Ali (double oscarisé), et les connaissances du paléontologue Dr. Henry Loomis, interprété par Jonathan Bailey (Bridgerton). Rupert Friend complète cette équipe en tant que représentant pharmaceutique, tandis que Manuel Garcia-Rulfo incarne un père de famille dont l'expédition maritime croise la route de prédateurs aquatiques jusqu'alors inconnus.

Scarlett Johanson dans Jurassic World : Renaissance.
L'esprit de Jurassic Park réinventé
Le retour de David Koepp, architecte des deux premiers films cultes, marque un tournant dans la saga. Son approche s'appuie sur trois piliers : l'héritage des six films précédents, une rigueur scientifique renouvelée et une dose d'humour savamment dosée, qu'il considère comme "l'oxygène" du récit. Cette vision promet de réinventer la franchise tout en restant fidèle à son essence.
Une immersion visuelle sans artifices
Le réalisateur Gareth Edwards (Rogue One, The Creator) repousse les limites du réalisme en privilégiant les prises de vue en décors naturels. Sa décision de limiter les effets numériques au profit d'une approche plus authentique nous rappelle l'impact viscéral des premiers Jurassic Park, tout en apportant une modernité saisissante à cette nouvelle aventure.
La nature reprend ses droits
Le 4 juillet 2025, nous affronterons les créations les plus terrifiantes jamais conçues dans les laboratoires de Jurassic Park. Jurassic World: Renaissance s'annonce comme une plongée vertigineuse dans les aspects les plus sombres de la génétique préhistorique, où chaque découverte pourrait bien remettre en question tout ce que nous pensions savoir sur l'évolution.